Darren Shan, T1 : La Morsure de l’araignée de Darren Shan

Age :  12-15 ans
Éditeur :  Hachette jeunesse (2009)
240 pages

Note : 4 out of 5 stars

Darren Shan est passionné d’araignées lorsque le Cirque de Freak vient s’installer dans sa ville. Les places sont rares mais il parvient à se rendre avec son ami Steve, à cette étrange parade de monstres, secrète et dangereuse. A la fin de la représentation, Darren demeure fasciné par l’araignée de Monsieur Crepsley ( Madame Octa) et sans penser aux conséquences, il la lui dérobe…

L’Histoire de Darren Shan commence a être republiée par Hachette jeunesse qui depuis la série de Stéphanie Meyer (Twilight) proposent de nombreux romans sur les vampires. Si je ne suis habituellement pas fans de ce genre de récits, j’avoue que La morsure de l’araignée, premier tome de la série Darren Shan, l’assistant du vampire m’a tout simplement scotché à mon siège le temps de dévorer ce livre.
L’auteur, qui se cache sous le même pseudonyme que son héros dans un soucis de nous faire croire à cette aventure, raconte à grand renfort de détails toute la parade de monstres du Cirque du Freak, n’hésitant pas à faire parfois dans la crudité et jouant avec nos émotions. L’écriture est visuelle si bien qu’on s’y croirait !
Loin de l’histoire d’amour entre un vampire et une mortelle, il conte ici dans un style passionnant, « sa » transformation en assistant vampire suite à un malheureux accident que l’on ne révélera pas bien entendu pour ménager le suspens de ce livre.
La fin nous laisse l’eau à la bouche et annonce un tome 2 tout aussi déroutant et original où l’on pourra suivre pas à pas le parcours de Darren Shan auprès de son maître. Toute son existence est bouleversée à présent et j’ai hâte d’en savoir plus ( et quelque chose me dit qu’une fois que vous vous serez laissé tenter, vous serez dans le même cas…)
Les fans de récits de vampires ne seront pas déçus par cette nouvelle perspective et ceux qui sont moins familiers de ce genre d’histoires voire dubitatifs, auront une agréable surprise à la lecture de La morsure de l’araignée, bien écrite, bien traduite et qui nous embarque dans un monde très obscur…

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